domingo, 24 de outubro de 2010

COEUR SOLITAIRE


Dans la langueur,
Mon pauvre coeur,
Seul, demeure,
Et par se taire,
Faisant mystère,
Bas, Il pleure.

Malade et blanche,
Terrible branche
De ce bois,
Il sens tout tendre,
Au voir descendre
Faible voix.

C’est de la vie
La nostalgie
De son pas
Et solitaire
Par sur la terre
Il se va’.


(Abril de 1952).
Ives Gandra